On l’attendait depuis le jour où on l’a vu à la programmation du festival This is not music à Marseille… Woodkid !
Et OH MON DIEU LE CONCERT DE MALADE !!!

Baltimore’s Fireflies donne les premières notes de la messe de Yoann Lemoine (haha le jeu de mot!). Entouré de ses musiciens, il nous transporte dans son épopée fantastique d’1h30.

La cérémonie Woodkidesque est à son comble lorsque les notes de Stabat mater retentissent et nous font vibrer. Le poing levé, le public se transforme en une armée dont Yoann Lemoine est le chef. Il joue avec les images projetées en fond, il joue avec la lumière mais il joue surtout avec nos émotions. On frissonne au son de Where I live, on a la larme au coin de l’œil en écoutant The shore, mais on a surtout des étoiles plein les yeux durant tout le concert.
On s’y attendait, Iron a été un des temps forts du live. Au bout de 40 secondes, la musique s’arrête, nous laissant surexcités, dans le noir. Pour reprendre ensuite de plus belle. Quand Woodkid nous demande si on est prêts à sauter, les Marseillais s’exécutent et c’est parti pour un moment de folie. Des teufeurs en rave-party n’auraient pas mis une meilleure ambiance.

Des morceaux adaptés au live, aux concerts afin d’échanger avec le public. Car toute la magie du moment réside dans le partage qu’a eu Woodkid avec ses spectateurs, admirateurs (?!). Travaillant avec les plus grands comme Lana Del Rey, Rihanna, Luc Besson, Sofia Coppola, le petit barbu à casquette n’en a pas pour autant pris la grosse tête. On le sent touché, ému lorsqu’on continue à fredonner Run boy run. Si bien que ses musiciens recommencent à jouer pour nous. Attendri de chanter Brooklyn (morceau de son EP), l’endroit où il vit, il s’amuse à modifier les paroles en y plaçant « Marseille« . Une dédicace qui touche toute la salle, et qui le fait sourire. Il regarde ses musiciens (extraordinaires eux aussi) d’un air complice et amusé « Ça marche à chaque fois« .

This is not music
Woodkid – Séverine (gauche) & Julie (droite)

Vous l’aurez compris, c’était juste la folie ! Woodkid en live, c’est pas un show spectaculaire qui va uniquement vous en mettre plein les yeux. C’est une voix, des instruments, des jeux de lumière qui vous prennent là, au plus profond.

A tous ceux qui nous disaient qu’un live de Woodkid serait ennuyeux, on vous dédicace cette vidéo, notre mal aux jambes d’avoir sautillé à chaque chanson et notre mal de gorge et mal aux mains d’avoir crié, applaudi  comme des folles.

L’artiste complet termine son concert avec un « On reviendra bientôt, avec un orchestre peut-être« . La promesse d’un concert encore plus fantastique et homérique. Difficile à croire mais tellement… Woodkid !
On ne sait pas quand, on ne sait pas où, on ne sait pas comment, mais ce qu’on sait c’est que nous on sera là.

WE LOVE YOU WOODKID.

Julie et Séverine
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Le concert, en un mot, vu par : 
Céline, 22 ans : « Grandiose!« 
Jessica, 28 ans : « Parfait!« 
Kevin, 23 ans : « Symphonique!« 
Benoit, 60 ans : « Innovant!« 
Jean-Paul, 52 ans : « Fantasmagorique!« 
Alexandra, 25 ans : « Somptueux!« 
Martine, 51 ans : « Inspiré!« 
Annie, 60 ans : « Chaleureux!« 

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